Entre parenthèses – L’animal blessé
Cet article reflète mon expérience et ma perception de cette dernière. Il est a prendre au second degrés. J’ai pas envie qu’on me refuse mon menu B2 ou M16 la prochaine fois que je me rendrai dans un restaurant Japonais.
Non cet article ne traitera pas de marcassin, chat ou chien errant ayant été heurté par un véhicule lancé a pleine vitesse … C’est une métaphore … Et oui ce genre de figures de style n’ont pas de secret pour moi (tout comme les oxymores, anaphores et autres pléonasmes).
Ici l’animal blessé représente le touriste japonais.
Je m’explique, comme ces pauvres animaux, le touristes Japonais a une particularité assez courante … Il est chétif. L’animal blessé, s’il veut survivre, doit être entouré … Le touriste Japonais est, lui aussi, peu à l’aise hors de son groupe … Se sent-il faible et pas en pleine possession de ses moyens pour vivre pleinement ? Je ne sais pas.
Cette non possession de ses moyens, l’empêche d’être actif dans des domaines comme le ménage ou le rangement. Triste. Petite parenthèse destinée à la gente niponine (féminine nipone) au long cheveux d’un noir intense … Est ce des cheveux playmobil interchangeable ? Effectivement j’en retrouve toujours une quantité énorme dans les douches … Bizarre.
Si la première barrière de l’approche est franchie, il ne faut pas crier victoire trop vite. Loin s’en faut. Comme l’animal blessé, le touriste japonais restera sur ses gardes, prêt à fuir à la première occasion et ainsi se défaire des griffes du prédateur.
Le non intérêt est clairement exprimé par une absence de conversation et l’apparition du fameux petit rire gêné dans la barbe (enfin le duvet pour les plus viril d’entre eux), de type très énervant.
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