Soutient à Didier Raoult, figure de la résistance moderne !

L’article qui suit arrive en réaction à la une du journal « Aujourd’hui en France » du 04 juin 2023 sur laquelle on peut voir un portrait du Professeur Didier Raoult, accompagné du gros titre « Comment l’arrêter ! ».

Temps de lecture estimé à une dizaine de minutes.

Cette Une m’a glacé le sang et m’a laissé pantois … Abasourdi, sidéré, stupéfait … Les adjectifs me manquent pour décrire l’état mental qu’a généré cette vision d’horreur.

Avant toute chose, je vous invite à lire mes deux précédents articles que j’ai réalisés au sujet de la période Covid. « Non, je ne suis pas vacciné » (Janvier 2022) et « Covidus ou pensées dissidentes » (Novembre 2020).

Mon engagement et ma position sont durables et constants. Presque autant que ma tendance à me questionner (sur n’importe quel sujet).

On le sait, mais aujourd’hui la remise en question du narratif officiel (presque érigé au rang de doxa) vous expose comme un soldat quittant sa tranchée pour s’engager sur le no man’s land séparant les deux camps belligérants.

Je pèse mes mots et j’essaie de pondérer mes propos. Cette métaphore exploitant le champ lexical de la guerre me paraît appropriée, tant les différentes couleurs politiques tendent à s’estomper au profit d’un affrontement entre deux blocs manichéens. D’un côté les gentils qui concentrent les valeurs jugées positives (humanisme, tolérance, non-violence, indulgence, liberté…) et de l’autre les méchants qui sont affublés des pires attributs (souvent regroupés sous l’égide de l’extrême droite, bien identifiée comme étant la ligne à ne pas franchir et dont on ne revient pas). Cette binarité manichéenne péremptoire gagne de plus en plus de terrain, et ce, dans tous les domaines de la vie. Une vision extrêmement catégorique qui tend à se propager dans la société comme une tumeur qui métastase.

En ce sens, le journal “Aujourd’hui en France” jouerait le rôle de l’agent cancérigène.

On peut voir une photographie du Professeur Didier Raoult partiellement dans l’ombre, donnant une impression de double personnalité néfaste et nébuleuse. C’est aussi peut-être un clin d’œil à la culture comics et particulièrement au personnage présent dans la saga Batman de Harvey Dent dit ‘Double-Face’. Un individu qui, après avoir lutté contre le crime aux côtés de l’homme chauve-souris, est devenu un de ses pires ennemis.

C’est un peu le cas du Professeur Raoult, qui est passé du rang de microbiologiste spécialiste des maladies infectieuses mondialement reconnu et respecté comme l’un des plus grands, à celui de paria en quelques mois… Pour avoir simplement mis en doute et contredit le narratif officiel. Alors que s’il y a bien un domaine dans lequel le consensus ne peut pas exister, c’est bien celui de la science et de la médecine. Si philosophiquement, le concept de vérité est extrêmement flou et complexe, celui de consensus ne peut qu’être fallacieux, mensonger et trompeur (et donc servir un autre but que la volonté impartiale d’informer ses lecteurs).

Le gros titre “Comment l’arrêter !” induit une notion d’urgence et de dangerosité normalement réservées à des chefs de guerre ou à des événements naturels incontrôlables. Ce n’est même pas la forme interrogative qui a été choisie. Il n’y a donc pas de questionnement, pas de débat, pas d’avis contraire possible… Non, il s’agit d’arrêter un phénomène définitivement et irrémédiablement destructeur et nuisible. Cela introduit le fait que tout autre positionnement est perçu comme une menace. Un procédé qui annihile l’esprit critique chez le lecteur, voire qui l’anéantit complètement. C’est donc une tentative de manipulation criante et honteuse.

Comme nous l’avions vu dans mes articles précédents, suite à la dictature sanitaire et à son instrumentalisation, de nombreux journaux étrangers ont présenté des excuses à leurs lecteurs. Le mea culpa est toujours possible. Or, il y en a qui choisissent une autre voie, plus sournoise, malhonnête, perfide et indécente, celle de persister et signer.

Et oui, ceux qui vous ont vendu l’inoculât salvateur, participant activement à sa promotion et agissant dès lors comme des organes de propagande (au même titre, ni plus ni moins, que la Pravda soviétique), délaissant toute velléité de journalisme et de poursuite de vérité, pourraient se repentir… Il n’en est rien ! Cette presse subventionnée représente la lie de l’humanité et l’un des acteurs principaux de notre décadence actuelle. Car oui, ce journal, comme tant d’autres, n’a été qu’un simple relais de la propagande covidiste et vaccinale.

Pour rester dans le champ lexical guerrier, je les qualifierai de collaborationnistes. Les périodes d’après-guerre comportent toujours leur lot de lâches, de traîtres, de couards, ou encore de pleutres et les comportements pour se justifier peuvent être multiples, du plus vertueux et respectable au plus vicieux et abject… Celui de discréditer bec et ongles, corps et âmes l’adversaire, en faisant fi de tous les éléments existants, dans une hypocrisie, un pharisaïsme et une malhonnêteté sans nom, est l’un d’entre eux.

En dehors de ces considérations et de ces avis qui n’engagent que moi, concentrons nous sur ce qui est concrètement reproché au professeur marseillais et au traitement qui lui est réservé dans l’article de ce pseudo-journal.

Au fil de ce texte aux saveurs pamphlétaires, on le présente comme un personnage médiatique sulfureux souhaitant être sous les projecteurs. L’article va même plus loin, en le qualifiant presque de gourou complètement déconnecté des réalités, agissant pour sa propre personne, comme engagé dans une croisade égotique.

Le début me semble presque irréel… “Contrairement au Covid, il y en a un qui ne se fait pas oublier.” Cette introduction suggère que tout est terminé et que l’on devrait effacer cette période de nos mémoires. Comment peut-on écrire avec tant de détachement et de légèreté sur cette phase inédite dans l’histoire de l’humanité, qui a redéfini la notion de citoyenneté en fonction d’un statut vaccinal (sur aucune base scientifique sérieuse, viable et concrète), qui a généré la mise en place d’une politique ségrégationniste, qui a détruit l’économie à long terme, qui a traumatisé nombre d’individus, qui a généré tant de défiance dans la société, qui a vu naître des outils de surveillance dystopiques… La liste pourrait être encore très longue. La violence de cette simple phrase est inouïe ! Comme s’il s’agissait d’une épidémie de gastro à l’école primaire Jean Monnet de Saint-Falzac-sur-Lubin.

En parlant du cycle primaire, la tournure de phrase me paraît très enfantine, comme une remontrance faite à un élève perturbateur lors d’une réunion parents-profs… “Le petit Gustave ferait mieux de se faire oublier un peu”…

Petit à petit, on induit la notion de sujet tabou. Revenir dessus serait presque du révisionnisme… Cela me paraît fantastique, presque fabuleux ! J’ai l’impression d’évoluer dans un univers parallèle ! Mais comment cela est-il possible ? Comment peut-on à ce point piétiner la science, la recherche et jeter l’opprobre sur un homme jadis respecté comme un ponte de sa discipline ? Comment peut-on défendre mordicus un consensus illusoire par nature !

Dès le début, on sent donc que la pression sur le professeur Raoult est immense. Des pressions qui visent clairement à le faire taire. Dans cet objectif, tous les coups sont permis.

La suite pourrait être risible si elle n’était pas vraie ! Elle appelle à plus de contrôle, plus de censure, plus de rigueur… Moins de poil à gratter ! Que la doxa soit respectée ! On ne remet pas en question impunément ! Dans un secteur gangréné par les conflits d’intérêts et après la période que nous venons de vivre, c’est tout simplement honteux, scandaleux, infâme… Encore une fois, les mots me manquent pour définir ces prises de position et tant d’inversion du réel !

Tout reste tellement opaque, tout est tellement questionnable… TOUT, absolument TOUT. De la genèse du virus, la gestion de l’épidémie, à la vaccination imposée avec des produits expérimentaux, en passant bien sûr par les millions dépensés pour des médicaments inefficaces (remdesivir et paxlovid par exemple), jusqu’aux confinements (sur absolument aucune base sérieuse), les politiques ségrégationnistes, les outils de surveillance, les méthodes de contrôle dignes de la Gestapo… Je suis éberlué par une telle volonté et acharnement pour mettre tout ça sous le tapis.

“À l’époque, on ne savait pas”… Une phrase trop souvent entendue. Or, on savait très bien et pertinemment ce qui se passait. Je ne m’étendrai pas là-dessus tant cette phrase assénée comme un couperet clos les débats de manière péremptoire et unilatérale. On peut choisir de rester dans la caverne (bonjour Platon), certes, mais il est indécent de dire ça et de traiter ce sujet avec tant de simplicité et de légèreté !

Cet article de « presse » qui ne traite absolument pas du fond (puisque ça n’est qu’un relai qui a pour seul but la destruction d’un homme) me donne vraiment la nausée et génère un vertige existentiel chez moi assez violent. Sur le côté, on trouve néanmoins un bandeau censé expliquer ce qui est reproché au professeur et à son institut.

Tout s’articule donc autour de 3 points clés qui sont « des pratiques inappropriées », « des recherches cliniques non autorisées », « fraude aux règles éthiques ». Au regard de tout ce que j’ai expliqué précédemment et de tout ce qui a été dit dans les deux articles que j’ai écrits sur le sujet, on frise le ridicule et l’indécence, voire la manipulation grotesque pour tenter de sauver les meubles, face à une offensive qui discrédite toutes les thèses officielles de manière irréfutable (et qui vient parachever un travail de longue haleine) ! Concrètement, on tente de discréditer la plus grosse étude mondiale sur ce sujet, en se focalisant uniquement sur la forme.

Le fond n’est jamais évoqué. Je ne rappellerai pas comment l’hydroxychloroquine a été prohibée… Tant cette interdiction est le fruit d’un des plus gros scandales sanitaires de notre histoire, puisqu’elle repose sur l’avis d’une des plus grandes et influentes revues scientifiques (The Lancet), qui dès le lendemain de sa publication, s’est repentie en avouant avoir été dupée par une fausse étude montée de toutes pièces. Je pourrais aussi écrire sur l’ivermectine, sur le vaccin en lui-même (transmission, contagion et propagande coercitive), sur l’immunité naturelle post-infection, sur la déclaration d’Helsinki complètement bafouée, sur la vaccination des enfants, des femmes enceintes et des moins de 50 ans, sur le caractère expérimental de tout cela… C’est absolument extraordinaire et inédit ! Alors après tous ces épisodes (et bien d’autres), qui font de cette période covidique presque la définition même de l’opacité, de l’immoralité, du mensonge, de la tromperie, de la dissimulation …

Demander plus d’éthique, de moralité et de contrôle, comme c’est écrit dans cette diatribe, me semble extrêmement choquant, on marche sur la tête ! En vieux français, on dirait que c’est l’hôpital qui se fout de la charité ! L’inversement n’a plus de limite. Surtout lorsque l’on continue à mettre en avant des organes décisionnels complètement corrompus et acquis à la cause de cette même propagande. Alors même si on continue de juger la forme et seulement la forme, je considère qu’avoir agi de la sorte, contre cette dictature sanitaire et ces décisions arbitraires complètement infondées et discutables, représente un acte de résistance (pour continuer dans mes métaphores guerrières).

Oui, Didier Raoult et ses troupes sont des figures de la résistance 2.0, des héros modernes fermement attachés à leur serment d’Hippocrate et insensibles aux multiples pressions visant à les faire taire. Persister dans cette voie, alors que le gouvernement et tous ses sympathisants tendent à vouloir mettre tout sous le tapis (jusqu’aux effets néfastes et indésirables du poison vaccinal inoculé de manière unilatérale), représente un acte de résistance et de courage qui devrait être salué et soutenu avec une force et une puissance herculéennes.

Or, les suiveurs collaborationnistes préfèrent persévérer dans leur lâcheté et leur vilenie, au détriment de toutes les valeurs qui sont censées nous unir. Depuis quelques années, nous vivons la mort du journalisme, sacrifié sur l’autel de la bien-pensance et sur celui du narratif en vigueur, qu’il faut toujours renforcer et corroborer, au risque de se voir affubler des pires attributs et d’être complètement marginalisé et ostracisé par le troupeau endoctriné.

Est-il réellement important d’évoquer le fond, tant la réalité et la vérité n’intéressent plus ? Les suiveurs aveugles ont ce qu’ils veulent : un avis précuisiné, prémâché, prédigéré, voire même prédéféqué. Parfait pour avoir un avis consensuel qui nous classe parmi les informés, tout en gardant notre place dans le bon camp. Ayant un minimum d’amour-propre, d’indépendance et de libre arbitre (« à l’ancienne » comme les chips), je vais tout de même m’y attarder.

Même s’il ne me semble pas pertinent de réaffirmer la légitimité du professeur Raoult (comme généralement tous ceux qui ont été censurés et diabolisés), il est de bon ton de rappeler que son institut a publié plus d’articles sur le Covid (plus de 500) que l’INSERM lui-même, et qu’ils ont été force de proposition et proactifs (étant notamment les premiers à tester les patients, plus d’un million de tests réalisés).

L’étude en question est disponible entièrement et consultable par tout un chacun (retrouvez-la ici). Quant aux résultats, je vais laisser le principal intéressé s’exprimer, en vous mettant quelques-uns de ses tweets (seul contre tous, merci à Elon Musk de garantir une possibilité d’expression et de défense, sinon la censure et la mainmise seraient totales).

Et après ?

Je vous laisse enquêter et vous questionner sur Amélie Boissier-Descombes, qui mène la fronde « Anti-Raoult » (c’est tellement fou d’en arriver à écrire ça, je me surprends moi-même) et qui s’indigne des activités du professeur à travers l’association des victimes d’essais médicaux non autorisés qu’elle préside. Encore une fois, il n’y a rien de plus grave ni de plus important et révoltant que ça (peut-être tout simplement la vaccination massive et tout ce que nous avons évoqué)… Non, ce n’est que complotisme ! Ces apôtres de la vérité sont dans le bon camp !

Je pourrais aussi évoquer la porte ouverte vers des dérives immenses qu’a laissées cette période et qui sont désormais (comme c’était largement prévisible) officiellement évoquées et empruntées … Dernièrement, pêle-mêle, le Sénat qui donne son feu vert à l’activation à distance des caméras et des micros des téléphones privés à des fins de surveillance massive, l’instauration d’un passeport sanitaire mondial (sur le modèle que l’on a connu) entérinée par l’OMS et l’Union européenne, les recommandations allant vers d’autres phases de vaccination… Sans parler des scandales toujours en cours et impliquant notamment Mme Ursula von der Leyen et sa posture de connivence avec Pfizer (les plaintes tombant mystérieusement dans l’oubli).

N’évoquons surtout pas la surmortalité immense post-vaccination, plus de 50 000 décès en plus (source INSERM) sur l’année 2022 comparée à 2020 et 2021 (sûrement dû au réchauffement climatique), les documents récemment diffusés par Pfizer eux-mêmes, tous les témoignages sur des effets indésirables, la recrudescence de problèmes cardiovasculaires … NON ! Le plus important est de faire taire les opposants à la doxa, en passant donc par le professeur Raoult (bientôt nous découvrirons peut-être qu’il est un membre actif d’un groupuscule d’extrême droite). Sans évoquer les questions de fond !

Il y aurait tellement à dire, tellement, tellement, tellement… C’est un puits sans fond ! Mais ce n’est pas le sujet ici.

Je réaffirme mon soutient au Professeur Raoult !

Résistons.