Petit article écrit à la hâte en une heure, mais je souhaitais réagir …

A l’Ouest, il y a du nouveau … Un peuple se dresse, se révolte, le processus insurrectionnel est lancé et rien ne semble être en mesure de l’arrêter. L’Irlande refuse la tyrannie l’UE de Mme Von Der Leyen et dénonce un gouvernement complice, qui agit encore une fois contre les intérêts de son peuple !

Comme le dit le proverbe, « chat échaudé craint l’eau froide » … La situation en France démontre la faillite de la société multiculturelle, de la laïcité (que nous sommes LES SEULS AU MONDE à pratiquer comme nous la pratiquons, je le dis et le repète) et plus largement, de la république ! S’il y a bien une vertu dans notre malheur, c’est de servir d’exemple au monde entier … De mauvais exemple, celui à ne pas suivre, sous peine d’aller vers une guerre civile qui semble inéluctable ! Une guerre civilisationnelle, pour vaincre … Ou mourir (pour reprendre le titre de l’excellent premier film du Puy du Fou mettant en avant une autre histoire de la révolution Française, mère de tous les vices avec mai 68, sa digne héritière pour achever le travail de destruction et ainsi parapher toutes les feuilles de notre mise à mort).

L’Irlande a toujours été un peuple de combattants et de patriotes ! Leur histoire récente entre la guerre d’indépendance ultra sanglante de 1919 et les sempiternelles conflits avec le Royaume-Uni du début des années 70 jusqu’à fin 1990 (est-ce réellement terminé ?) font état d’un peuple qui ne se résigne pas, qui ne s’agenouille pas et qui ne se laissera pas faire ! Aujourd’hui ils se montrent dignes de leurs ancêtres et de leur héritage. Un crime atroce ciblant des enfants et perpétré par un Algérien a été la goutte d’eau … « The straw that broke the camel’s back ».

Eux ont décidés de ne pas passer par la case des lâchés de ballons, des « vous n’aurez pas ma haine » et des bougies sur le rebord de la fenêtre. Voyant où ça nous mène … Ils ont sûrement raison d’essayer une autre voie et de demander des comptes à leur gouvernement, soumis aux politiques mortifères de l’Union Européenne qui agit contre ces citoyens dans un but bien précis et très documenté ! Une insurrection encore attribuée à « l’extrême droite » par bon nombre de médias français … Mais jusqu’à quand cet argument tiendra ? Jusqu’à quand le pouvoir se maintiendra grâce à un tel discours avec ce ressort unique … Mais qui permet comme on le sait, a beaucoup de personnes de se placer facilement du côté des humanistes tolérants pétri de valeurs, devant faire face à des nazis (oui il faut toujours nazifier l’ennemi, principe de base).

Les réactions, notamment de Connor McGregor, tranchent avec les réactions françaises, plus souvent du côté des agresseurs que des agressés … Et beaucoup trop tendres, dans un politiquement correct insupportable, mais nécessaire pour échapper à la guillotine sociale !

Je vous invite à lire mon article sur l’Arménie où j’évoque les migrations instrumentalisées comme nouvelles armes de guerres, en vue de déstabiliser un pays, un régime et une civilisation. Le gauchisme n’a plus sa place … Il a assez métastasé dans nos sociétés, pour aboutir à un cancer généralisé !

Pas de statistiques ethniques en France ? Je vous invite à consulter celles compilées par Marc Vanguard, qui fait un travail titanesque pour que la réalité explose de nouveau.

Accepter cette réalité, c’est s’ouvrir à une autre ! Celle du néo-colonialisme dénoncé notamment par l’activiste Kemi Seba, toujours sur le front. C’est tout faire pour stopper ces migrations instrumentalisées qui se servent de l’humain comme chair à canon, en vue de mettre en place leur agenda politique (celui qui se décide à Davos). C’est reprendre sa souveraineté perdue ! Car oui, la souveraineté est totale ou elle n’est pas ! Aujourd’hui et indéniablement, elle n’est pas, elle n’est plus !

Le spectre de Crépol

Aujourd’hui nous sommes habitués à cette violence extrême, aux meurtres, aux attaques à l’arme blanche sur des enfants, au harcèlement de rue, aux incivilités quotidiennes … Les Irlandais ont juste une réaction “normale” face à la barbarie qui jaillit pratiquement toujours du même camps !

Après le drame de Crépol, perpétré par des barbares bien identifiés et identifiables par n’importe quel Français (pas de « délit de sale gueule » juste du bon sens svp).

Cet acte inqualifiable aurait dû susciter une indignation nationale, comme c’est toujours le cas lorsque ceux que l’on qualifie de “petits anges” sont touchés.

Cependant, il est frappant de constater que cet événement n’a pas fait l’objet d’une couverture médiatique exceptionnelle, comme l’atroce viol de Cherbourg, à la violence médiévale, il a même fallu batailler pour qu’il soit relayé. Jusqu’à être délibérément omis par certains médias, notamment d’extrême gauche (ou de gauche, tant les distinctions se sont estompées dans le paysage médiatique et archétypal actuel, pour ne laisser place qu’à une simple opposition binaire et manichéenne).

En effet, pour certains, aborder des crimes, même les plus odieux et insoutenables, est considéré comme du racisme lorsqu’ils sont commis par des individus catégorisés comme “racisés” (c’est-à-dire des personnes non blanches qui sont des victimes systémiques, fondamentalement opprimées, marginalisées, et rejetées en raison de leur seule couleur de peau et/ou origine ethnique et sociale). Alors que hiérarchiser les crimes et les délits et les censurer sciemment, en se basant sur l’origine ethnique et/ou sociale du criminel, pourrait presque définir le racisme en soi. C’est un procédé qui, en plus d’être malhonnête et fallacieux, est profondément discriminatoire. Rien ne justifie la désinformation et l’omission volontaire.

C’est extrêmement malheureux à constater, mais si cet épisode avait été perpétré dans la Creuse par Richard, Thibault, ou Jean, il aurait défrayé la chronique, nous aurions assisté à un tsunami médiatique qui aurait impacté jusque dans les plus hautes sphères.

Sur la fresque de notre déclin civilisationnel progressif, on pourrait marquer un petit point rouge “nous sommes ici”, nous entrons dans une période encore inconnue et totalement nouvelle. Celle d’une délinquance et d’une violence juvénile (voire enfantine) extrême. Fruit d’individus sauvages (au sens Rousseauiste du terme, c’est-à-dire non civilisés, presque primitifs).

Ce sont ces mêmes individus qui ont défié la République et mis le pays à feu et à sang lors des émeutes qui ont suivi la mort du canonisable Nahel. Des gremlins snapchateurs capables de tuer, casser, brûler, violer… Et ce en toute impunité, sans que personne ne s’y oppose, puisque faire face à ces hordes de barbares (au sens de l’absence de civilisation, d’une cruauté extrême, destructrice, et inhumaine) serait là aussi considéré comme du racisme.

On en est même venu à leur attribuer des idéaux et des revendications politiques, certains allant jusqu’à les considérer comme de véritables opposants au régime. Comme si le fait de s’introduire par la force dans un supermarché pour voler des boissons sucrées, pouvait être qualifié d’acte de résistance altermondialiste.

En réalité, ce ne sont que des individus profondément hédonistes et nihilistes, agissant uniquement dans leur propre intérêt, incapables de canaliser leur volonté de puissance inhérente à chaque être humain (une conduite pulsionnelle qu’on pourrait dès lors rapprocher d’un comportement animal, dénué de toutes considérations éthiques et morales). Leur QI à un, voire deux chiffres, ne leur permet pas une réflexion poussée.

On ne compte plus les faits divers les impliquant, tous les jours des hommes et des femmes sont victimes de ces bourreaux du quotidien que n’importe quel Français est capable d’identifier… Une démarche en amble et un mouvement de balancier très reconnaissable, un dialecte truffé d’insultes et de novlangue, une agressivité qui génère un halo tout autour d’eux … Des boules de nerfs gorgées de haine, de violence, et de ressentiment, persuadées d’être les grands oubliés du système, érigeant ce statut de victime presque comme une part constitutive de leur identité, considérant n’importe qui hors de sa communauté comme un potentiel belligérant. Un sentiment qui est entretenu et pérennisé par la doxa dominante (accompagné de ceux qui les protègent, ce sont les idiots utiles d’un système qui les écrasera en temps voulu).

Cette corroboration permanente et cette soumission (voulue) presque totale du système vis-à-vis de ces petits despotes, les mènent du communautarisme au tribalisme. J’entends par cette notion tribale une identification très forte au groupe d’appartenance, un favoritisme extrêmement marqué envers les membres du groupe, des conflits intergroupes (voire même intragroupes dans le cas d’une lutte pour le pouvoir, par exemple), la perte de perspectives individuelles, et la stagnation sociale. Le tout sans la notion de cohésion que peut potentiellement générer le tribalisme.

Nous observons la déchéance d’une jeunesse déracinée, totalement déconnectée de la société, sans repères moraux ni éthiques, évoluant dans un climat de violence perpétuelle, le tout dans une impunité totale.

Tout cela ne peut mener qu’à une escalade de la violence et notamment envers les femmes, puisque ce sont des proies faciles (ce type de profil est particulièrement lâche, vil et crapuleux).

C’est aussi et surtout symptomatique de jeunes hommes profondément frustrés sexuellement et totalement inadaptés à la vie dans une société mixte, multiraciale (la femme blanche étant beaucoup plus visée) et multiculturelle.

Leur violence se transpose souvent vers les femmes puisqu’elles leur renvoient leur dégoût (légitime) vis-à-vis de leurs êtres et tout ce qu’ils représentent (à savoir la violence, la décrépitude, la négligence, la nonchalance, l’inculture, la grossièreté, la brutalité…).

La femme devient alors inaccessible, elles cristallisent toutes leurs frustrations et leurs ressentiments, pour n’être que des objets fantasmagoriques et chimériques. Le fait d’être complètement désarmé dans la jungle des rapports hommes/femmes, les pousse à adopter des comportements de plus en plus violents et agressifs vis-à-vis de la gente féminine. Leur seul accès à la sexualité se résumant bien souvent au sexe tarifé et à la pornographie.

Le fait de se sentir tout-puissant suite aux épisodes des émeutes pourrait en galvaniser plus d’un et les pousser à franchir le pas de l’agression sexuelle avec violence et/ou acte de barbarie.

Comme d’habitude je digresse … La colère me fait monter la moutarde au nez ! Soutien total à nos amis Irlandais, pour qu’ils ne se retrouvent pas dans la même situation que nous ! Comme le dit si bien Connor McGregor « Ireland for victory » !