Réflexions sur la sagesse instinctive : affûter son instinct de survie à travers le jugement visuel

Suite au drame de Crépol, qui a débouché sur l’assassinat de Thomas, par une bande armée issue d’un groupuscule d’extrême bas, nous avons entendu tout et n’importe quoi.

Surtout n’importe quoi, certain allant jusqu’à comparer cette expédition punitive avec la guerre des boutons (qui est un roman, donc une histoire fictive), d’autres évoquant des points communs avec Roméo et Juliette, en passant par des tentatives assez ridicules et pathétiques d’explications censées être rationnelles et impartiales, en utilisant toujours le traditionnel et sempiternel mobile raciste, qui aboutit à inverser le réel, les victimes devenant ainsi des coupables, qui auraient potentiellement provoqués la violence de leurs adversaires.

Ces derniers seraient alors confortés dans une position d’opprimés ayant usés de leur droit à la légitime défense (il est vrai que tirer les cheveux d’une personne, si tel est le cas, mérite de se voir asséner un coup de couteau en plein cœur, à l’aide d’une lame de 25 centimètres, ça me paraît effectivement assez proportionnel).

Il me semble discutable de défendre l’idée selon laquelle ces jeunes damoiseaux seraient venu à ce bal champêtre (ou cette « fête de village », appelez ça comme vous voulez) dans le but unique de « s’amuser » et ce, dans un esprit de camaraderie et de convivialité. Lorsqu’on a vu les photos des individus mis en cause, on a du mal à imaginer ces énergumènes dans une telle dynamique, surtout lorsque nous avons appris l’arsenal guerrier avec lequel ils s’étaient déplacés. Alors j’ai listé quelques possibilités afin d’expliquer le port de telles armes blanches, potentiellement létales :

  • Je ne sais pas si il y avait un service de traiteur sur place, mais on peut légitimement imaginer qu’ils avaient prévu d’aider en cuisine, en cas d’accroissement inhabituel de l’activité par exemple (de manière bénévole qui plus est).
  • Peut-être étaient ils circassiens et souhaitaient présenter un numéro de fakir, d’avaleur d’épées ou de lancer de couteaux (ce qui s’inscrit en plus dans une démarche de conservation des arts du cirque).
  • On peut aussi imaginer que ces individus maîtrisaient la sculpture sur bois et qu’ils auraient eu la volonté de partager ce savoir avec les personnes présentent ce soir-là (ce type d’individu étant souvent dans une démarche de partage et de pédagogie).
  • On peut aussi penser à des silhouettistes présent dans le groupe et ayant la volonté de faire revivre cet art en voie d’extinction.
  • Dernière possibilité, celle du partage de techniques de survie en milieu hostile.

Bien qu’elle soit couramment pratiquée par ce type de personnage, la « drague au couteau » n’étant pas une activité reconnue, je ne l’ai pas citée. Mais cette motivation est ressortie et a été soulignée par divers médias (qu’on pourrait qualifier dès lors de médias complices).

Comme si nous avions affaire à des coureurs de jupons farceurs et facétieux. Nous reviendrons plus tard dans cet article sur leurs rapports aux femmes, à la drague et à la sexualité. Leur apparence (tant sur le plan vestimentaire que physique) souvent repoussante, combinée à une hygiène douteuse, sans oublier leurs comportements violents, oppressants et primitifs, aboutit à un résultat généralement peu apprécié de la gent féminine.

Si on ajoute à tout cela, le manque de culture, de conversation, un niveau de langage proche du néant et plus généralement, un QI inférieur à 70 (ce qui les classe dans la plage du retard mental léger) ça devient assez complexe d’entrer dans un jeu de séduction.

Bref, de telles hypothèses laissent perplexe (mais je laisse à Mr Patrick Cohen la possibilité d’en choisir une). L’option d’une bande de sauvages venue en découdre, semble tenir la corde, mais je parle au conditionnel ! Le spectacle de fakir reste une possibilité à ne pas exclure.

Il semble donc qu’on puisse dire absolument n’importe quoi, donc dans une réflexion construite, je souhaite défendre, voire même promouvoir, le délit de faciès.

Pourquoi promouvoir le délit de faciès ?

C’est un titre un peu racoleur, je vous l’accorde. Il s’agit, en réalité, de défendre l’instinct de survie, qui n’est ni plus ni moins que l’expression de notre animalité.

On peut le décrire comme une réponse innée et automatique face à une menace. Ce mécanisme est profondément enraciné dans notre évolution biologique, reposant sur le réel, l’expérience et plus généralement sur l’empirisme.

Lorsque l’on regarde les individus qui sont le plus prompt à se rendre coupable d’actes de violences, de barbarie, de vols, de viols, d’harcèlement de rue, de rackets et j’en passe, certaines similitudes semblent revenir et un profil semble potentiellement se détacher … Je ne parlerai ici que de styles vestimentaires, de démarches, de traits de personnalité … Bref tout ce que ces individus ont en commun.

Nous allons tenter d’analyser tout ça de manière presque philosophique (Certains leur prêtent des valeurs romantiques, donc allons y franchement) afin de vous donner quelques clefs pour effectuer le meilleur tri au faciès possible !

  1. Le style vestimentaire

Les parures vestimentaires qu’ils arborent, telles que le survêtement (un classique des classiques, un « must have »), les baskets, la sacoche (souvent une imitation de grande marque) ou encore la casquette, sont souvent associées à un certain stéréotype social, celui de la « racaille ». L’origine du mot remonte au Moyen Âge, où “racaille” désignait des déchets issus du raffinage du sucre (on avait déjà la notion de déchet). Au fil du temps, le terme a évolué pour prendre une connotation négative afin de décrire des individus considérés comme socialement indésirables, en raison de comportements perturbateurs ou délictuels.

D’une perspective sociétale, je dirai qu’il s’agit de l’équivalent du costume cravate, dans la mesure où elles incarnent des codes symboliques distincts. Ces tenues deviennent une affirmation identitaire, une réponse au conformisme vestimentaire et donc par extension, une manière de s’exclure soi-même et volontairement de la société, comme de l’auto stigmatisation. Et oui, à partir du moment où il s’agit presque de l’uniforme du délinquant, continuer à le porter, revient à s’assimiler volontairement à ce profil.

Dans le cadre de l’instinct de survie, il est donc normal et naturel d’éprouver des craintes à la vue d’individus affublés de la sorte. Il est néanmoins possible de contrer ces réactions, en ayant un langage non verbal qui inspire la confiance, la joie et la bonne humeur (qui commence par un sourire et une attitude avenante). Nous verrons plus tard que ça n’est malheureusement pas souvent le cas.

Je passe bien évidemment sur le caractère esthétiquement hideux d’un tel accoutrement, puisque comme le dit l’adage, tous les gouts sont dans la nature. A noter qu’il y a généralement deux écoles, ceux qui optent pour un ensemble uni et les autres qui partent sur un « costume » dépareillé (ce qui peut donner lieu à des scènes plutôt cocasses, comme par exemple avoir un bas de survêtement d’une équipe de football et le haut d’une autre équipe, qui peuvent d’ailleurs être ennemi, il n’y a pas de limites, pas de règles particulières à ce niveau-là, le « style » avant tout).

Le style vestimentaire est une base.

  1. La personnalité et le comportement

Il s’agit de points essentiels, qui s’articulent généralement autour de 5 notions clefs :

  • Irrespect
  • Incivilité
  • Hédonisme
  • Impulsivité
  • Violence

L’irrespect

Cela implique un comportement ou une attitude qui ne tient pas compte des normes sociales, des règles, ou des personnes. L’irrespect peut se manifester de différentes manières, que ce soit par un langage offensant, des gestes déplacés, ou une attitude générale de dédain envers autrui. Ce point nous amène au suivant.

Incivilité

C’est l’aboutissement du premier point. Cela se réfère à des comportements qui enfreignent les règles de la politesse, de la courtoisie ou de la vie en société. Ça peut inclure des actes tels que ne pas respecter les files d’attente, parler fort dans des endroits publics, diffuser de la musique au volume maximale dans les transports en commun ou même juste dans la rue (allant jusqu’à se promener avec une enceinte), traverser au feu rouge (parce que, je cite, « j’men bas les couilles moi »). En règle générale, l’incivilité est souvent associée à un manque de considération pour les autres, ce qui nous amène au point suivant.

L’hédonisme

La personne accorde une priorité maximale à la recherche de son propre plaisir et de son bien-être, sans se soucier des répercussions sur les autres. Dans cette perspective, le plaisir personnel est la valeur suprême, et les actions sont guidées par le principe de maximiser les plaisirs individuels, même (et surtout) au détriment des autres. Cela implique une recherche constante de gratifications immédiates.

Il faut bien prendre en compte que tout cela est rendu possible par l’absence d’éthique et d’empathie. Ce qui abouti même au sadisme, qui est une orientation psychologique caractérisée par le plaisir ou la satisfaction qui découle d’infliger délibérément de la douleur, de la souffrance ou de l’humiliation à autrui. Les personnes qui présentent des traits sadiques peuvent éprouver un sentiment de domination, de contrôle ou de puissance en faisant du mal à d’autres personnes.

Pour moi, les actes d’incivilités quotidiens rentrent dans ce cadre, puisque c’est une manière de s’imposer et d’humilier les gens autour. Je distingue donc la violence physique et la violence psychologique de ces bourreaux du quotidien. Un caractère hédoniste qui nous amène à l’avant dernier point.

L’impulsivité

L’incapacité à se contrôler et à canaliser leur volonté de puissance, inhérente à tout être humain (bonjour Mr Nietzsche) est une caractéristique majeure de leur personnalité. A la base, ce concept souligne que la quête fondamentale de l’homme est de rechercher et d’accroître constamment son pouvoir, sa force et son influence, non seulement sur soi-même, mais aussi sur le monde qui l’entoure.

Chez eux, il n’y a pas la notion interne à eux-mêmes (qui normalement doit permettre d’atteindre un équilibre) puisque ce sont des êtres profondément nihilistes, dénués de toutes notions transcendantales et de « surmoi ». Si on rajoute le manque de culture, d’éducation et de vocabulaire (ils ne sont pas à même de penser leur monde, ils ne sont donc pas apte à la discussion et au débat qui normalement, précède la violence) on aboutit à des êtres fondamentalement pulsionnels, incapable de prendre du recul et d’analyser une situation.

Faites une remarque quelconque à un de ces individus sur le volume de leur musique ou de leur conversation, la réaction impulsive et violente ne se fera pas attendre (ils évoluent dans un rapport de force constant et permanent). Ce qui nous amène donc naturellement au dernier point.

La violence

Premièrement, je pense que la violence peut résulter d’un manque de compétences dans la résolution des conflits (qu’ils ont généralement eux même créés), ils optent donc pour la violence comme solution par défaut. Si vous vous questionnez à ce sujet, sachez qu’ils ne font généralement pas de bons managers.

Deuxièmement, je pense qu’il y a un réel épanouissement par la violence, puisque c’est leur seul moyen pour être en position de domination. Ils en font d’ailleurs souvent l’apologie. Même ceux qui n’usent pas de la violence, doivent le faire croire. C’est presque une part constitutive de leurs identités.

Il me semble que ces 5 points sont ancrés dans le réel et font partis du monde du dicible. Ils sont visibles de tous. Il ne faut pas occulter cette réalité qui fait partie de nos quotidiens et qui pollue nos vie. Il faut abandonner petit à petit l’idéologie et l’utopie, et revenir à des notions beaucoup plus basiques, terre à terre et prosaïques. Je pense que c’est essentiel de se baser sur le réel, le factuel et le dicible, pour aborder les problématiques sociétales qui en découlent et qui gangrènent notre vie en société, jusqu’à la rendre presque impossible.

Tous ces points sont le marqueur d’individus sauvages (au sens Rousseauiste, c’est-à-dire non civilisés et inaptes à une vie dans une société multiculturelle et mixte). Il n’y a pas et il n’y aura jamais, de volonté d’intégration à un système qu’ils considèrent en leur défaveur. Ils se considéreront toujours comme des victimes sempiternelles, puisque cette posture les déresponsabilise de tout et les autorise à être ce qu’ils sont. Ce sont des individus qui ont une propension inouïe à engendrer le mal. On peut dès lors dire que ce sont des tumeurs qui métastasent dans notre système.

  1. Comment repérer ces individus et s’en protéger ?

En plus de tout ce que nous avons déjà cité, il me semble important de pointer du doigt la démarche physique et tout ce qui va avoir un attrait avec le comportement non verbal, qui vous permettra de les repérer de loin.

  • La démarche

Tout le monde connait ce mouvement de balancier caractéristique, qui part des genoux jusqu’aux épaules et qui aboutit vraiment à cette sensation apparente de tangage, comme si les individus avait du mal à marcher droit, sans ces mouvements oscillatoires.

A cette démarche physique s’ajoute un air patibulaire, c’est-à-dire un aspect menaçant, sinistre et peu engageant, qui s’exprime généralement par un regard insistant (qui est d’ailleurs un prélude assez classique avant une incartade).

Si ces derniers sont en mouvement, la vitesse de marche est généralement assez lente, qu’on pourrait qualifier de nonchalante. Une accélération du pas (dans votre direction ou dans votre dos) peut être annonciatrice d’une interaction proche, dont vous ne tirerez aucun profit.

  • Le groupe

Si un individu seul est rarement sujet à l’ultra violence, il faut par contre se méfier des groupes. Au regard de leur profil particulièrement lâche et veule, ils attaquent pratiquement toujours lorsqu’ils sont en surnombre. Et oui, gardez à l’esprit qu’il s’agit de la lie de l’humanité, donc ils sont assez « jusque boutistes », voire inventifs, lorsqu’il s’agit de sombrer dans ce que l’humain peut représenter de pire.

Dans cet optique, ils déambulent souvent en groupe (de deux à plusieurs dizaines, voire plusieurs milliers, comme nous l’avons vu pendant la séquence des émeutes). Ne pas négliger la dangerosité de ce groupes (qui ne sont ni plus ni moins que l’addition de plusieurs individus aux caractéristiques préalablement citées).

La notion de groupe est primordiale chez eux, et débouche même sur un tribalisme assez marqué. J’entends par cette notion tribale, une identification très forte au groupe d’appartenance, un favoritisme extrêmement marqué envers les membres de ce groupe (et uniquement ce groupe), des conflits intergroupes (voire même intragroupes dans le cas d’une lutte pour le pouvoir, par exemple), la perte ou l’absence de perspectives individuelles, et la stagnation sociale. Le tout sans la notion de cohésion que peut potentiellement générer le tribalisme.

  • Les lieux couramment fréquentés

Même si ils sont désormais très mobiles, vous pouvez les retrouver dans des endroits précis, qui sont généralement des lieux à forte concentration de personnes. Ces derniers peuvent être des lieux de transit (ils affectionnent particulièrement les gares), de commerces (les centres commerciaux sont des hauts lieux de rencontre) ou de vies nocturnes (vous les retrouverez généralement aux abords de ces lieux et non directement dedans, à ce sujet veuillez noter qu’ils apprécient particulièrement les personnes diminuées, que ce soit par l’alcool ou le handicap par exemple, la lie de l’humanité on vous a dit).

Il est assez rare de les retrouver dans des lieux de culture tels que des bibliothèques par exemple. De ce fait, s’ils sont présents dans ces endroits, c’est un immense drapeau rouge et je vous invite à redoubler de vigilance.

  • La formation aux sports de combat

C’est sans doute un point clef, pas seulement pour s’auto défendre en cas d’attaque, parce que on le sait, la fuite reste la solution privilégiée, mais pour acquérir de la confiance.

Cette dernière se fait ressentir de l’extérieure. Dite vous bien que vos adversaires sont aguerris à la violence et qu’ils ont développés des facultés pour savoir quand, comment et sur qui agir. Ce sont de véritables prédateurs qui sentent l’odeur du sang.

De plus, leurs caractéristiques de sous hommes que nous avons évoquées auparavant, les mène souvent à agir avec un ascendant sur vous. Ce dernier peut être d’ordre numérique et surtout d’ordre technique, c’est-à-dire à l’aide d’une arme lorsque vous en êtes dépourvu. Ils recherchent ce déséquilibre pour être sûre d’arriver à leurs fins.

Pourquoi le jugement au faciès ?

Premièrement, gardez en mémoire que votre vie vaut plus que leur susceptibilité. Vous pouvez faire de grandes choses, quant eux sont presque condamnés à la médiocrité éternelle. C’est une règle d’or. Les évènements récents (qui arrivent d’ailleurs avec une occurrence beaucoup plus forte qu’avant) et l’accroissement absolument ahurissant de l’insécurité, doivent vous amener à affuter votre instinct de survie ! C’est malheureux mais on le sait, qui veut la paix, prépare la guerre (et est apte à la mener).

La soumission n’a jamais menée à la paix. La tempérance et l’excuse permanente non plus. Les politiques menées depuis des années le montrent bien, l’effondrement de l’école républicaine achève de démontrer ce point.

  • Répondre au délit de faciès dont la population est victime

Vous pensez que les victimes sont choisies au hasard ? Que les filles harcelées, violées ou tuées le sont par l’infortune ? Que les évènements attaqués sont les fruits de coïncidences ?

Arrêtons cette naïveté insupportable. Car oui, ces individus ne font que pratiquer des jugements au faciès. Aujourd’hui, ce ne sont plus seulement les femmes qui sont jugées par leurs apparences mais tout le monde. Une tenue jugées un peu trop « catho » (à savoir propre et sans marques ostentatoires) peut justifier une attaque (dans leurs têtes de simplets, vous êtes un facho).

Ces gens ont donc le monopole du délit de faciès. Et on le voit parfaitement bien dans la culture populaire par exemple et plus particulièrement dans le monde de l’humour. Un univers qui a été « grand remplacé » (pour utiliser un terme polémique) par le stand-up. Discipline au sujet quasiment unique, à savoir les différences entre les communautés et les races. Ici tout est permis, le blanc est clairement la pire des m**des, disons le clairement. C’est un individu fondamentalement raciste, xénophobe, qui ne comprend pas l’évolution sociétale, il est toujours décrit et vu comme un arriéré et ça fait rire tout le monde. Quant au catholicisme dans ces sketchs, n’en parlons pas c’est vraiment une source intarissable de moqueries et de rires. A noter que pour être « standuper » il faut toujours, c’est une règle de base, tacler les grandes figures politiques de droites et évoquer le racisme.

  • Mesdames protégez vous !

Comme on l’a vu précédemment, ils sont sans foi ni lois. Veillez à vous protéger de ces prédateurs. Comme l’a montré le récent exemple d’Oumar (désolé à ceux que ça choque mais c’est son prénom, je n’y peux rien) à Cherbourg, ils n’ont aucune limite.

Les femmes sont particulièrement prisées, puisque ce sont des proies faciles.

C’est aussi et surtout symptomatique de jeunes hommes profondément frustrés sexuellement et totalement inadaptés à la vie dans une société mixte et multiraciale (la femme blanche étant beaucoup plus visée, c’est factuel).

Leur violence se transpose souvent vers les femmes puisqu’elles leur renvoient leur dégoût (légitime) vis-à-vis de leurs êtres et tout ce qu’ils représentent (à savoir la violence, la décrépitude, la négligence, la nonchalance, l’inculture, la grossièreté, la brutalité, souvent le manque d’hygiène…).

La femme devient alors inaccessible, elles cristallisent toutes leurs frustrations et leurs ressentiments, pour n’être que des objets fantasmagoriques et chimériques. Le fait d’être complètement désarmé dans la jungle des rapports hommes/femmes, les pousse à adopter des comportements de plus en plus violents et agressifs vis-à-vis de la gent féminine. Leur seul accès à la sexualité se résumant bien souvent au sexe tarifé et à la pornographie.

Le fait de se sentir tout-puissant suite aux épisodes des émeutes pourrait en galvaniser plus d’un et les pousser à franchir le pas de l’agression sexuelle avec violence et/ou acte de barbarie.

Les adeptes du féminisme actuel, consensuel et promu, c’est-à-dire le militantisme en faveur de l’idéologie trans (et non les personnes trans, je fais le distinguo et c’est important de le faire), n’ont pas jugés bon de relever le crime de Cherbourg ou les exactions insupportables du Hamas par exemple, afin de ne pas être accusés de stigmatisations ou d’amalgames.

Nous en sommes là. Par contre, souhaiter que l’on évoque l’affaire, la victime ou encore le profil d’Oumar, vous expose de suite à des accusations de racisme, comme l’a ouvertement dit le duo pro-féminisme intersectionnel « Camille et Justine ».

Il s’agit de bien distinguer cette frange du féminisme, qui n’a presque plus rien en commun avec un féminisme originel et qui peut être incarné, par exemple, par Marguerite Stern et Dora Moutot (femelliste.com) ou le collectif Nemesis, porté par l’excellente Alice Cordier.

Ce féminisme là aboutira à une censure de la parole de la femme blanche, si elle n’est pas en adéquation avec les autres éléments constitutifs de cette intersectionnalité, à savoir l’ennemi commun qui est l’homme blanc cis-genre, la théorie du genre, l’idéologie trans, l’idéologie antiraciste, la mouvance antifa (créée par les soviétiques comme une technique de propagande visant à “fasciser” tout ce qui n’est pas de gauche, à diaboliser tout ce qui ne partage pas leurs idées), la reconnaissance de la notion de privilège, bref, toute la doxa woke mondialiste et globaliste qui doit nous mener vers une identité commune et uniforme.

Conclusion

“On ne peut juger de la beauté intérieure que par l’apparence extérieure.” – Publilius Syrus

C’est un peu brut et ça va à l’encontre de la bien pensance, mais c’est parfois le cas. Encore une fois, je vous enjoins à faire attention, les récentes périodes d’émeutes historiques dont nous avons étés témoins, ne doivent pas rester sans conséquence. D’ailleurs quand on se penche sur les vidéos de ces scènes absolument effarantes et effrayantes, on voit que les petits gremlins émeutiers partagent énormément de caractéristiques citées dans cet article.

Il est nécessaire que la peur change de camps et que ces individus soient jugés à la hauteur de ce qu’ils sont et surtout de ce qu’ils font (petit tacle au laxisme judiciaire pour terminer). Je pense que tout ce qui a été décrit au cours de cet article parlera au plus grand nombre, en tout cas ceux qui sont dans le réel. Demander à ce que la société s’adapte à ces personnes, me semble irresponsable voire suicidaire ! L’inversement de tout, doit cesser !

Merci de m’avoir lu et à bientôt !