” Il n’y avait jamais d’beau temps,
Dans ce pauvre paysage.
Il n’y avait jamais de printemps,
Ni derrière, ni derrière,
Il n’y avait jamais de beau temps,
Ni derrière, ni devant.
Mais toujours il était content, Menant les gars du village,
À travers la pluie noire des champs,
Tous derrière…”